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10 octobre 2010 7 10 /10 /octobre /2010 17:50

Dodo-bird2

Je procrastine,

Tu procrastines,

Il/Elle procrastine,

Nous procrastinons,

Vous procrastinez,

Ils procrastinent.

Je procrastine,

Tu procrastines,

Il/Elle procrastine,

Nous procrastinons,

Vous procrastinez,

Ils procrastinent.

Je procrastine,

Tu procrastines,

Il/Elle procrastine,

Nous procrastinons,

Vous procrastinez,

Ils procrastinent.

Je procrastine,

Tu procrastines,

Il/Elle procrastine,

Nous procrastinons,

Vous procrastinez,

Ils procrastinent.

Je procrastine,

Tu procrastines,

Il/Elle procrastine,

Nous procrastinons,

Vous procrastinez,

Ils procrastinent.

Je procrastine,

Tu procrastines,

Il/Elle procrastine,

Nous procrastinons,

Vous procrastinez,

Ils procrastinent.

Je procrastine,

Tu procrastines,

Il/Elle procrastine,

Nous procrastinons,

Vous procrastinez,

Ils procrastinent.

Je procrastine !!!

 

NB: Pour info, l' animal est un dodo...

 

 

 

 

 

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9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 13:59

 

 

1enft1adulte


Ouh la la, qu' est-ce-que ce mot, aussi vilain à lire qu'à dire ? Quant à l' écrire, essayez, ça n' est pas le plus facile que je connaisse, oui, ce mot demande une certaine concentration afin de l' écrire justement...

Qu' est-ce alors que la procrastination ?

La procrastination est l' art de systématiquement et continuellement reporter à plus tard ce qui pourrait être réalisé dans l' instant présent.

Par exemple ?

Une personne qui va choisir de bouquiner plutôt que de ranger sa maison, regarder la télé au lieu de se reposer.
Quelqu' un qui va repousser le paiement de ses factures jusqu' à en payer plusieurs fois la somme de départ pour retard.
Le fait de peaufiner sans arrêt un projet au point que celui-ci ne verra peut-être jamais le jour.
Craindre un refus ou un échec au point de renoncer à entreprendre quoi que ce soit en ce sens.
Etc etc...

C' est se sentir "incapable de..." ou "pas envie de..." ou "réfractaire à..." au point d' éviter la situation en faisant tout autre chose qui apporte un bref instant de plaisir immédiat et une bonne excuse pour s' éviter soi même !

D' où vient cette façon d' être, comment devient-on quelqu' un qui procrastine ?

Dans l' enfance.
Si un enfant ressent trop d' autorité qu'il n' estime pas obligatoire et jauge donc irrecevable, il va développer une stratégie de défense. 

Le mécanisme de la procrastination est le suivant: 

A chaque fois qu' un enfant souhaite dire non ou ne pas faire ce qu' une autorité lui demande, et parce que cette autorité lui impose de le faire, l' enfant, en réaction selon ses motivations personnelles, repousse indéfiniment la tâche à exécuter jusqu' à son extrême limite, en essayant de ne pas la faire ou de la faire en rechignant voire de la bâcler.
Sa non action ou sa réalisation de dernière minute en maugréant étant la manifestation de son refus de l' ordre exigé.

Quand l' on est enfant, l' autorité est partout. L' obéissance aux autres est de rigueur... 
Les parents, la famille, les amis, l' école, les voisins, les commerçants, les forces de l' ordre, les "grandes personnes", partout règne l' autorité, alors, selon la manière dont est élevé l' enfant et sa personnalité, celui-ci ressentira plus ou moins fortement ces injonctions, et se rebellera en devenant une personne en proie à la procrastination.

Comment se fait-il qu' adulte et autonome, sans autorité imposée, la procrastination perdure ?

Quand on a appris sous l' autorité ou de façon autoritaire, une partie de soi est empreinte d' autorité. 
Ce qui fait que dans des moments de contrariétés intenses ou de choix importants, nous devenons, sans nous en apercevoir, notre propre donneur d' ordres !
Eh oui, nous sommes l' autorité que nous refusons d' appliquer, ce qui fait que nous sommes en contrariété avec nous même.

Les procrastinateurs se disent souvent "il faut que", "je devrais", "quand j' aurais fait", "je dois absolument", "maintenant je vais faire...", etc etc... Ils s' imposent de faire, se donnent l' instruction perpétuelle d' éxécuter des ordres.
Ce qui fait qu' ils se mettent une pression intense, créant ainsi une surdose de stress.Ce sont des êtres billeux, anxieux et parfois angoissés.
A force de reporter inlassablement leurs obligations, ils se retrouvent à bout de force, tant ils ont dépensé d' énergie à reporter plutôt qu' à faire...
Et comme leurs réalisations se font le plus souvent à la dernière minute (quand pas du tout!), ils ont aussi une tendance à devenir de splendides retardataires, lié à leur optimisme surréaliste ou à une insouciance du temps nécessaire dû à d' éventuels imprévus.
Au fond d' eux, ce sont de grands rêveurs qui idéalisent (excès de perfectionnisme oblige!) leurs projets au point de les reporter sans cesse afin qu' ils soient parfaits. 

Ca se vit bien de procrastiner au quotidien ?...

Non, et c' est même une souffrance pour les personnes qui vivent ainsi.

La procrastination engendre une grande culpabilité. Tant que les tâches à accomplir ne sont pas effectuées, la personne culpabilise de ne pas y être encore arrivé. (alors qu' elle n' a même pas commencé...)
Elle s' offre ainsi l' occasion de se mettre en tension continue (jusqu' à ce que ce soit fait...ou jamais! Et là, c' est pour elle un échec...) en invoquant de fausses excuses qui soi-disant l' empêchent de réaliser les tâches qui lui incombent.

La vie d' un procrastinateur peut vite devenir un cauchemar car tout peut prendre de vastes proportions dans beaucoup de domaines.

D' autant que se cachent chez chacun des peurs qui freinent encore plus l' action, augmentées de certaines croyances, le tout visant à affaiblir l' estime de soi.

Les conséquences peuvent être qu' une personne, si talentueuse soit-elle, peut passer sa vie à s' auto-saboter par peur de se réaliser.
Elle préfèrera ne rien faire du tout, ce qui lui assurera de ne rien faire de mal...

Est-il possible de changer cette façon d' être ?

Le plus important est déjà de prendre conscience d' être ainsi, de l' avoir décidé un jour, pour se protéger.

Ensuite, accepter que ce schéma ne soit plus porteur aujourd' hui et qu' au lieu de nous protéger, il nous met maintenant en danger. Du moment où cela devient néfaste et que l' on vit mal d' être ainsi, il est temps de procéder à un changement.

Comprendre que la seule personne à se donner des ordres, c' est soi même !

Et décider de changer, en accord et respect de soi.


La bonne nouvelle, enfin, est que ce mécanisme, une fois détecté, peut s' inverser, en développant d' autres comportements, adaptés aux besoins de chacun.
 
Pour cela, suivez-moi, pour les solutions, c' est par ici, avec "Comment cesser de procrastiner!"
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9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 13:36

ben pdt ce tps là

 

Oui, c' est bon, ça va, ça vient, je vais le faire cet article, minute !

 

C' est que pour publier j' ai un souci, les mots n' apparaissent pas ! Je ne comprends pas !

 

Et en plus, comble du comble, une soucoupe a alunit dans mon jardin, cette nuit, pardi ! Mardi ? Oui, d' accord, mardi en fait ! Les voisins qui s' envoyaient la vaisselle en l' air en se donnant des noms de bêtes , à rebrousse poils les bêtes ! Je n' en ai pas fermé l' oeil, et j' ai gardé l' autre ouvert, au cas où ils remettraient ça, du coup, je suis dans tous mes états, c' est pas le jour de me demander quoi que ce soit, encore moins d' écrire un article !

 

C' est pas grave, je l' écrirai tout à l' heure cet article, je suis trop fatiguée pour me concentrer, là, tout de suite, je vais aller faire un tour en poney, ça va me requinquer un peu d' air frais, après, je l' écrirai, c' est ça, un peu plus tard !

 

Wof, sinon demain, au pire, je l' écrirai cet article !

 

Enfin, je verrai, je l' écrirai bien un jour !

 

Ohhh et puis je l' écrirai quand j' aurais le temps, c' est tout !

 

Il faudrait quand même que je l' écrive une fois pour toutes cet article, rrrrrrrr, mais pas là, maintenant je vais compter le nombre d' insectes que contient mon jardin, c' est pour savoir combien d' équipes ça peut me faire si un jour je me lance dans les concours de fourmis ou autre insecte répertorié, c' est parce que j' ai lu un article très instructif sur l' élevage de ces petites bestioles et figurez-vous qu' il y a des courses de coléoptères, de mille-pattes et plein d' autres encore all over the world (partout mais alors partout dans le monde ça veut dire!!), sur ce, je me lance ! Et mon article attendra, euh, un peu encore !

 

Ah oui, l' article que l' on me réclame depuis combien, fiou, 6 mois déjà, c' est dingue ce que le temps passe, quand je pense que cet hiver m' a ravagé mes 4 mois de boulot intense sur de jolies coccinnelles, j' avais un concept, il y en a même une, je l' aurai appellée Choupette, le projet aurait été acheté par Walt en personne (Disney, je précise, un ami, allez sur facebook vérifier, non mais!!), bon, je suis certaine que ça aurait fait un carton mais voilà, l' hiver 54, mes coccinnelles, ma Choupette, toutes ses copines, toutes les variétés, dé-ci-més ! Trop rude l' hiver !

 

Quoi ? 7 ans ? Déjà ? Mon article, je l' écris demain, oui, voilà ! Demain, c' est SÛR !

 

Détendez-vous, c' était juste pour vous faire patienter une minute ou deux, allez, venez par ici, "Cesser de procrastiner : les solutions !", un little clic et vous y êtes, pas la peine de se vexer non plus ! Si on ne peut plus plaisanter !!!

 

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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 10:46

 

applegoodevil.jpg


L' autre est mon miroir.

A travers lui, je me vois, je me perçois. 

De là, quand quelqu' un m' agace ou provoque de vives réactions en moi, je sais que c' est parce que cet autre m' interpelle, me touche, me sensibilise.

- Oh la la, moi, je comprends rien à ce que tu dis aujourd' hui la coach !

Eh bien disons que quand quelqu' un t' énerve, t' irrite, t' agace, te rend dingue, t' insupporte, etc etc, (liste amplement non exhaustive, à chacun la sienne!), eh bien dans ce cas, et dans ce cas seulement, cela peut signifier deux choses, soit que cette personne a un comportement identique au tien, sauf que tu refuses d' admettre ce comportement comme faisant partie de toi.
Ou alors cette personne a un comportement qui reflète ce que tu souhaiterais être, avoir ou faire, c' est-à-dire que ce qu' il ou elle fait, dit ou est, c' est ce que tu voudrais faire, dire ou être.

- Moui, pas sûre de comprendre l' effet miroir...

C' est simple, ce que nous avons tant de difficultés à percevoir pour nous-mêmes  et par nous-mêmes, nous le distinguons plus aisément au travers des autres. Les défauts des autres sont plus apparents que les nôtres.
D' où l' expression connue disant qu' il est plus simple de voir la poutre dans l' oeil de son voisin que la paille dans le sien...

- Admettons l' idée... Et concrètement, ça se passe comment alors ?

Quand une personne dit, est ou fait quelque chose que nous n' apprécions pas, n' acceptons pas, n' aimons pas, détestons, etc etc, c' est soit parce que nous avons le même comportement que cette personne et que nous refusons de l' admettre, soit que nous aimerions avoir le même. 

- Hein, quoi ? Ca veut dire que quand quelqu' un m' énerve, c' est parce que je suis aussi énervant ou que j' aimerais le devenir, c' est cela ?

Exactement. Euh... Bien que pour l' exemple choisi, la première option est souvent la bonne...

- Bon, ben pas d' accord. Tu m' expliques ???

Je vais prendre un exemple, ce sera plus simple à comprendre.

Un jour, une femme à qui j' expliquais cela me dit alors: " Mon mari a un désordre épouvantable dans la cave, ce qui me rend folle de rage à chaque fois que j' y descends, d' ailleurs, ça m' énerve à tel point que j' évite maintenant de m' y rendre. Son foutoir m' insupporte au plus haut point. Ceci dit, je n' ai pas envie de devenir bordélique et bordélique, je ne le suis pas, alors, dans mon cas, ça ne colle pas."

Ca m' a fait sourire car je connaissais bien cette femme. Et en effet, plus soigneuse qu' elle, j' ai rarement vu. Nous travaillions ensemble, et, chaque jour de chaque semaine, tout chez elle était assorti, ses lunettes étaient assorties à son pull, son pull était assorti avec ses boucles d' oreilles, boucles d' oreilles assorties au foulard, assorti au rouge-à-lèvres et également assorti au vernis de ses ongles qui changeait chaque jour en fonction de... sa tenue vestimentaire, qui ne manquait pas d' être, ???, ouiii, un bel assortiment ! TOUT était raccord, chaque jour et quelle que soit la tenue, jusqu' au parfum. Je ne l' ai jamais vue autrement qu' ainsi, brushing impéccable etc, une femme ultra soignée, et donc, ultra soigneuse et méticuleuse.

Nous en avons discuté, et, au fil de la discussion, elle comprit ce que je lui expliquais. Le foutoir de son mari n' était pas un foutoir qu' elle souhaitait, non, elle ne désirait pas devenir désordonnée. 
Néanmoins, ce désordre était le reflet d' une envie profonde de lâcher-prise, une volonté de ne plus tout contrôler sur tout et en particulier pour elle. A être toujours irréprochable, elle s' était enfermée dans des rituels de soins et de "mise en beauté" qui lui prenaient un temps fou et l' empêchait ainsi de se faire plaisir comme elle l' aurait désiré au plus profond d' elle-même, ce que son mari, lui, savait faire... Dans son "espace cave", il s' accordait cette détente qu' il ne pouvait avoir dans leur maison, archi propre et bien rangée de partout. C' est donc dans son foutoir qu' il exprimait sa liberté d' être lui-même, que cela plaise ou non à son épouse, une nécessité pour lui...

De là, si mes propos la faisait rire au début, elle en fut très émue ensuite et... ne vit plus jamais la cave de son mari de la même manière...

- Ok, là, je comprends mieux. Donc, si je suis ton raisonnement, quand quelqu' un me reproche ceci ou cela, c' est parce qu' il fait ou est pareil ou parce qu' il aimerait, au fond, faire ou être pareil, c' est bien cela n' est-ce-pas ?

Tout à fait. Et cela nous arrive à tous, dans une multitude de situations de la vie quotidienne. De part et d' autre, chacun peut se sentir blessé ou blesser, sans forcément le souhaiter consciemment.
D' ailleurs, ce sont souvent les gens qui nous connaissent le mieux qui nous énervent le plus. Peut-être parce qu' ils nous ressemblent tant...Ou que nous leurs ressemblons tant...

Alors voilà, les querelles, les mésententes, les conflits divers et variés proviennent de cela, en partie. De notre faculté à percevoir chez l' autre ce qui cloche chez nous. De là naissent des brouilles qui n' ont pas lieu d' être, alors que si nous nous préoccupions plutôt de nous et de ce qui ne va pas en nous, nous trouverions certainement plus de solutions à nos faux problèmes, évitant aussi beaucoup d' absurdités.

- Oui, je suis bien d' accord cette fois, mais en pratique, comment faire ? 

Quand l' autre nous " sensibilise ", nous touche, nous affecte, nous fait du mal, de la peine, au lieu de surenchérir, de le blâmer ou de faire monter le ton, le mieux est de comprendre ce que cela touche en nous plutôt que de se dire que l' autre est blessant, vexant, désagréable, etc.
Alors oui, cette personne est peut-être tout ceci, désagréable, ..., mais, si ça nous touche, c' est bien parce que quelque chose ne va pas en nous, sinon, ça ne nous effleurerait même pas... 

- Et il suffit que je me le dise alors ?!? Et ça va changer quoi ?!?

Se le dire est une première étape, une étape qui permet de désamorcer les conflits avant qu' ils ne prennent de l' ampleur. Ensuite, tout le travail sur soi consiste à repérer les phrases, les sujets, ... qui nous énervent, nous touchent,... afin de comprendre qui l' on est et comment l' on fonctionne, de prendre conscience de nos attitudes ainsi que des comportements que nous avons. Et d' en changer si cela ne nous convient pas. 

- Pas facile tout de même...

Peut-être pas tout seul, en effet, car prendre du recul sur soi demande du savoir-faire, et c' est bien pour cela que je suis là non ? Une p' tite séance et hop, c' est reparti mon kiki, et non, pas comme en quarante, ah ça non ! 

Sur ce, à la prochaine !
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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 09:24
les signes...

L
orsque 
les oies volent 
en formation, elles vont environ 70 % plus 
vite que lorsqu'elles volent 
seules.

Les oies partagent la direction. 
Lorsque la meneuse fatigue, 
elle reprend sa place dans le V 
et une autre prend la tête.
 

Les oies tiennent compagnie à celles qui tombent. 
Lorsqu'une oie malade ou faible doit quitter 
la formation de vol, au moins une autre oie se 
joint à elle pour l'aider et la protéger.
 

En faisant partie d'une équipe, nous aussi nous pouvons 
faire beaucoup plus et beaucoup plus rapidement. 
Les mots d'encouragement et d'appui (comme les cris de l'oie) 
contribuent à inspirer et à stimuler ceux qui sont 
en première ligne, les aidant à soutenir le rythme, 
les tensions et la fatigue quotidienne.
 

Il y a enfin la compassion et l'altruisme envers ceux qui 
appartiennent à l'ultime équipe que représente l'humanité...
 

La prochaine fois que vous verrez une formation d'oies, 
rappelez-vous que c'est à la fois un enrichissement, 
un défi et un privilège 
que d'être membre à part entière d'une équipe.

 

Wallace Co. Inc.

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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 15:15
Yes-we-can2.jpg


Ce que tu dis, c' est ce que tu es.

Ce que tu penses de toi, c' est ce que tu seras...


L' important n' est donc pas qui tu es, l' important est qui tu vas devenir. 


Et ça, c' est toi qui le décide, toi, et personne d' autre que toi.

Alors, si tu te définis comme ..., tu seras ...

De là, comment te décris-tu ? Que dis-tu de toi à ceux qui ne te connaissent pas ? Quelle est ta vérité ? Qui souhaites-tu devenir et que souhaites-tu réaliser dans ta vie, de ta vie ? 

Quelle personne décides-tu d' être ? C' est toi qui décide !


just do it2


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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 01:00
cailloux.jpg


Un jour, un vieux professeur de l'École nationale d'administration
publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur La
planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de
dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.
Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation.
Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière ".

Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que
l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un,
lentement, puis leur dit :

"Nous allons réaliser une expérience".

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof
sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4
litres) qu'il posa délicatement en face de lui.
Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux a peu près gros comme
des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot.

Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y
ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves
et leur demanda :

"Est-ce que ce pot est plein ?"

Tous répondirent : "Oui".

Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?"

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient
rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros
cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier
s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda:

"Est-ce que ce pot est plein ?"

Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.

L'un d'eux répondît: "Probablement pas !"

"Bien !" répondit le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une
chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le
sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.

Encore une fois, il demanda :

"Est-ce que ce pot est plein?"

Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent :

"Non !"

"Bien !" répondît le vieux prof.

Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet
d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le
vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda :

"Quelle grande vérité nous démontre cette expérience? "

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours,
répondit :

"Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda
est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter
plus de rendez-vous, plus de choses à faire ".

"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela."

"La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les
gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite".


Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors :

"Quels sont les gros cailloux dans votre vie?"

"Votre santé?"
"Votre famille?"
"Vos ami(e)s?"
"Réaliser vos rêves?"
"Faire ce que vous aimez?"
"Apprendre?"
"Défendre une cause?"
"Se relaxer?"
"Prendre le temps...?"
"Ou... toute autre chose?"

"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX
en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir...sa vie."

Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira
sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux
à consacrer aux éléments importants de sa vie.

Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question :

"Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?"

Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)"

D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire
et quitta lentement la salle.
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14 janvier 2010 4 14 /01 /janvier /2010 20:45
coucher soleil coeur

Le Rose et le Noir ...

Quand j' ai créé ce blog et qu' il a fallu en choisir le design, le rose et le noir se sont imposés naturellement.

Le Rose, symbole de l' amour.
Le Noir, symbole de la peur.

Or, tout principe de vie réside dans l' une ou l' autre de ces directions, celle de l' amour ou celle de la peur. 

Qu' est-ce-qui apporte la paix ? L' amour.
Qu' est-ce qui apporte les conflits ? La peur.

En toutes choses et toutes circonstances, on retrouve ces deux sentiments qui nous gouvernent, et, selon celui que nous choisissons de nourrir, nous devenons l' un ou l' autre, amour ou peur, de nous-mêmes, des autres, de la vie, de sa vie.

L' amour permet de grandes choses, car l' amour génère des sentiments tels que joie, enthousiasme, bien-être, plénitude intérieure, etc, alors que la peur engendre colère, culpabilité, conflit intérieur, frustration, ... 

A chacun de choisir le chemin qu' il souhaite emprunter, celui de l' amour, ou celui de la peur.

Les deux sont envisageables, chacun menant à des destinations différentes. 

Or, le but ultime de l' être humain est de connaître le bonheur au cours de sa vie et d' expérimenter ainsi ce qui va le rendre le plus heureux.

Alors, selon vous, quel chemin conduit le plus directement à cet état de bien-être et de joie ? Celui de l' amour ou celui de la peur ?

Si vous étiez libre d' emprunter à chaque situation l' un ou l' autre de ces deux chemins, lequel choisiriez-vous ? 

Lequel ?
 
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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 12:55
mots-du-coeur.jpg


Les mots sont essentiels.

Si nous n' y prêtons pas attention, ils se transforment en maux.

Les maux = la maladie, la maladie = " le mal à dit ".

Si vous voulez vous sentir en pleine forme et préserver votre capital santé, mieux, le renforcer, soignez vos mots.

Mère Térésa disait qu' elle refusait toute invitation la conviant à s' exprimer contre la guerre et qu' elle participerait uniquement aux conférences parlant de paix.

Si on passe 2h à écouter parler de la guerre, de ses conséquences, de sa noirceur, on aura entendu que des propos négatifs, sombres; on sortira certes en connaissance, peut-être en conscience de cette absurdité de l' horreur humaine, oui, certes, mais qu' est-ce que ça va changer ?

En quoi le fait de parler du problème va-t-il apporter des solutions ?

En rien ! On ne fera qu' entretenir le problème, puisqu' on ne fait qu' en parler, encore et encore, c' est donc un problème !!!!

On se concentre rarement sur l' aspect positif de ce que l' on souhaite. 

La nature humaine est plutôt prédisposée à se gargariser de ses soucis plutôt que de porter son attention sur les solutions. De là, on comprend mieux que certains se noient dans leurs problèmes, logique, ils ne font que les ressasser.

ON EST LE RESULTAT DE NOS PENSEES !

Vous en doutez ?

Prenons cet exemple simple:

J' ai des soucis financiers, et ça me tarabuste l' esprit, mon banquier me téléphone plus souvent que Priscilla, qui est pourtant une accro du téléphone, c' est dire, mes proches m' en parlent souvent histoire que je reste sous pression, au cas où je ne m' en soucierai pas assez, alors un jour, très motivé que je suis, je décide de solutionner mes soucis financiers afin qu' il n' en soit plus un...de souci, vous suivez ?

Ok, je développe.

J' ai ces soucis d' argent et je n' en veux plus, très motivé toujours, c' est décidé, je me répète que c' est fini, qu' à partir de maintenant, je n' aurai plus de problèmes d' argent, terminé, je ne veux plus être à découvert, je ne veux plus de noeuds à l' estomac et terminé les nuits blanches à me stresser avec l' argent. Voilà, je n' en veux plus, donc je n' en aurai plus, basta !

Qu' allez-vous obtenir, selon vous ?

Etrangement et à votre grand désespoir, vous obtiendrez encore plus de soucis avec l' argent !

Comment cela me direz-vous ?!?

J' ai pourtant focalisé toute mon attention et mes pensées sur le fait d' arrêter avec les problèmes d' argent, alors ????

Alors ?????????????...

Eh bien vous n' avez fait que penser au problème et non à la solution. (problèmes d' argent, à découvert, noeuds à l' estomac, nuits blanches, stresser )
 
Vous n' avez concentré votre attention que sur ce que dont vous ne voulez plus.

Ce faisant, vous avez envoyé un message à votre cerveau lui disant tout ce dont vous ne vouliez pas, et vous obtiendrez donc exactement ce que vous avez demandé, c' est-à-dire plus de soucis d' argent... Si si, puisque vous êtes un génie, souvenez-vous...

Comment changer cela ?

Déjà, posez vous les bonnes questions.

Quand on souhaite quelque chose, arrêter de fumer, faire du sport, mincir, grossir, se sortir de problèmes divers et variés, c' est toujours pour une raison qui nous tient à coeur, en arrière-plan de la décision elle-même.

On peut vouloir arrêter de fumer pour se sentir en meilleur santé physique, pour retrouver la saveur précise des aliments (hé, si vous êtes cuistot, c' est important !), pour se prouver que l' on est capable de le faire, etc etc, tout comme mincir, on ne le fait pas pour le plaisir de mincir mais bien parce que cela va générer de nouvelles sensations, un mieux-être, une plus belle allure, etc etc, bref, chacun ses envies et ses motivations.

C' est donc cela qu' il est bon de se répéter, et non l' inverse.

Si on veut arrêter de grossir, on pense à grossir, alors on grossit plus.

C' est comme quand vous mangez un gâteau en culpabilisant au lieu de prendre plaisir à le manger, l' un pèsera plus sur la balance que l' autre, eh oui, c' est comme ça. 

Envoyez-vous les bons messages et selon ce que vous souhaitez, demandez-le de manière positive afin d' obtenir le résultat désiré.

Reprenons notre exemple:

Puisque je ne veux plus de problèmes financiers, essayer de se dire quelque chose comme:

A partir de maintenant, je ferais tout ce qui est nécessaire et approprié afin que mon compte en banque soit toujours créditeur. Je veux être serein et détendu de savoir que j' ai une situation financière agréable qui me permet de couvrir mes besoins et ceux des personnes qui m' entourent, etc etc.

Chacun ses mots, chacun ses envies, chacun ses aspirations pour son bien-être personnel.

A vous de préciser ce dont vous avez besoin, selon.... vos besoins !

Cessez de penser problèmes ne suffit pas, il est nécessaire de remplacer vos pensées problèmes par des pensées solutions et de transformer vos mots, de les mettre en accord avec vos nouvelles pensées, les bonnes, celles qui vous portent, et d' utiliser les bons mots, ceux qui font du bien, ceux qui vous donnent envie, ceux qui vous motivent, ceux qui nous font nous dépasser.

Vous savez parler ? 

Oui ?

Vous en êtes donc capable ! Tous !

Commencez par changer vos mots et vous constaterez que, comme par enchantement, les choses commencent à s' arranger d' elles mêmes, comme si vous possédiez une baguette magique ...


A paraître prochainement:

Parler positif, cela s' apprend.
Comment le "parler positif" change notre vie...positivement !
 
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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 15:06
femme devant STOP

Cela vous est-il déjà arrivé d' en avoir ras-le bol de quelque chose, d' une situation ou d' un comportement ? Vous est-il déjà arrivé d' en avoir plus qu' assez que les choses se passent ainsi, comme vous ne le souhaitez pas, et ... d' en avoir archi ras-le bobol, ras la casquette, marre, marre, marre et marre !

Oui, cela vous est déjà arrivé, et ça arrive à beaucoup de personnes, même aux meilleurs ...

Je veux changer ! Oui Mais...

"Oui Mais" est un film, de, avec et réalisé par Gérard Jugnot. C' est une petite merveille du genre. Si vous ne l' avez pas encore visionné, je vous encourage à le faire, à vous de voir...Ou pas donc !

En voici un avant-goût pour les plus curieux:

Il s' agit d' une adolescente qui a des problèmes relationnels avec sa mère et qui vient, un jour où elle n' en peut plus, vraiment plus, consulter Gérard, psy.
Elle évoque le fait que sa mère est son problème, qu' elle lui gâche la vie et que du coup sa vie est devenue un enfer. Lors de cette première séance, Gérard lui fait prendre conscience que oui, sa mère est un problème pour elle, mais qu' en l' occurence, c' est elle qui est devant lui et non sa mère et que c' est donc elle qui a un problème vu qu' elle est en demande de solutions. La jeune fille est d' abord très énervée d' entendre ça, puisque non, c' est sa mère le problème, et pas elle ! Et, bien sûr, c' est elle qui va revenir et c' est elle, qui, de séances en séances, va prendre conscience du mécanisme mis en place entre elle et sa mère et des raisons, ou des excuses qui lui font perpétrer ces comportements, inlassablement, alors que pourtant elle sait à quel point ils ne conviennent ni à elle, ni à sa mère, ni à leur relation fille-mère, et encore moins au père, mais ça, c' est une autre histoire...

Au cours du film, on y découvre également toute une série de personnages qui discutent et se rassurent de ne pas faire ce qu' ils rêveraient de faire, les "oui mais". Il existe plein de "oui mais", tendez l' oreille et écoutez les "oui mais" qui s' échangent de partout, il y en a plein, peut-être en faites-vous partie, oui mais non ais-je envie d' ajouter...

Oui, on a tous nos bonnes excuses pour rester dans nos attitudes néfastes et répétitives qui pourtant nous font souffrir.

On aimerait tant changer, oui, mais ! Il y a toujours un "mais" bien valable et justifié qui nous fait nous empêtrer dans notre inconfort.

Alors, si quoi que ce soit vous gêne ou ne vous convient pas ou plus, n' espérez aucun miracle afin que les choses changent d' elles-mêmes, abracadabra, chéri passe de fermé à ouvert, abracadabra, maman me fait un compliment à la place d' une critique, abracadabra, mon patron me sourit le matin avant de me demander son café sans sucre avec une larme de lait, etc... Aucun miracle non. Néanmoins, créer des miracles, oui !

Cela vous paraît abracadabrantesque ? Eh bien pas tant que ça en fait ! Parce qu' il se trouve que nous avons tous quelque chose qui ressemble à une baguette magique, capable de transformer les situations, les paroles échangées et donc les situations.

Cette baguette magique, c' est Vous !

Et vous pouvez changer les choses !

D' ailleurs, si l' on y réfléchit avec bon sens, comment espérer qu' une situation change si on ne change rien à la situation ?

C' est impossible! 

Si on ne change rien, c' est que l' on fait pareil, et si l' on continue à faire pareil, on obtiendra...le même résultat !

Tout dépend donc de ce que l' on souhaite, vraiment, sincèrement, pour se sentir bien, pour être en harmonie avec soi et donc avec les autres. 

Conclusion :

La seule solution afin que les choses changent, le retour des gens change ou que les situations changent, est que vous changiez vous même quelque chose à votre façon d' être, à votre manière de percevoir le monde, sinon, rien ne changera, rien n' évoluera autrement... 
Commencez dès à présent par décider de ce qui ne vous convient plus, et, immédiatement ensuite, prenez la décision avec vous-même de dire enfin :


panneau stop 


ET CHANGEZ
VOUS LE POUVEZ !


A paraître prochainement

Comment changer une habitude efficacement.
Comment reconnaître de ce qui est bon ou non pour soi.
... 



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